Montserrat (texte #4)

Bonjours tout le monde! Voici un autre texte que j'ai écrit au lycée, toujours avec une consigne. Bonne lecture! (désolé toujours d'avance pour les fautes)

Nous sommes à un passage de « Montserrat » où plusieurs personnes ont été tuées pour inciter Montserrat à parler sur la cachette d’un rebelle. C’est le tour d’un marchant un autre innocent de parler pour supplier de rester en vie. Il s’adresse alors au lieutenant Izquierdo responsable de cette horreur.

Écrire cette tirade.

Izquierdo : « Parle, nous t’écoutons ! »

Le Marchand (ravalant ses derniers sanglots) : C’est à croire que cela vous plaît d’entendre des personnes vous supplier pour rester en vie ! Je n’en peux plus, j’ai déjà donné ma pars. Néanmoins vous qui êtes lieutenant haut gradé, ne savez dont vous pas ce qu’est la logique ? Cet ingrat ne parlera pas et vous êtes en train de salir le mur de rouge pour rien ! La stratégie est censée être votre point fort non ? Alors, n’avez vous pas réfléchis à quoi moi et les derniers otages pourrions vous servir à part à des condamnés ? Je suis marchant voyons ! Ne savez vous dont pas que la ville me parle ? Votre chère traitre là, de Bolivar, en un jour ou deux les nouvelles seront déjà à ma porte et je vous en informerai dès que possible ! Je suis du côté du roi rappelez-vous en bon sang ! Mon marché fleurissant ne pouvez-vous dont pas prendre ceci pour votre partis ? Un marchand c’est un espion parfait ! Si tel n’est pas votre avis, à vous personne dégoutante, inhumaine, tuez-moi qu’il en soit ainsi ! (Se retournant vers Montserrat mais s’adressant toujours à Izquierdo)  J’espère juste  alors que ce saligaud la bouclera jusqu’à la fin, sinon j’irai le hanter ! Tout ce que je peux vous souhaiter c’est de bien vous amuser avec nos pauvres familles qui sont vos nouveaux jouets à présent !